Pierrick S. McGregor|| Here we go again, it's so insane

A Londre, la vue semblait suivre son cours ce soir là. La ville était tout à fait calme alors que dans une chambre d'hopitale, une jeune femme d'une vingtaine d'année nommé Lilia Bodel McGrégor se trouvait en train d'agoniser pour donné naissance à un enfant qu'elle attendait depuis neuf mois et huit jours. Les heures qu'elle passa allongé dans ce lit d'hôpital lui paressèrent être autant d'instant d'agonie qu'elle devait subir pour elle, son couple et ce futur enfant dont elle ne connaissait pas encore le nom. Monsieur McGrégor, plus régulièrement appelé James, a passé tout le temps de l'accouchement dans une salle annexe à attendre nerveusement qu'on lui dise que son fils arrivait. Car ça ne pouvait qu'être un fils. Même s'il n'avait pas demandé à voir s'il s'agissait d'un garçon ou d'une fille sur les échographies, ça devait être un garçon. Les parents du petit avaient tout prévu. Ses futurs habits, sa chambre et tout ce qui allait avec. Alors, lorsqu'on lui annonça que son fils venait de naître ce fut la bouffé de joie. Les jambes tremblantes il rentra dans la salle d'accouchement et cru tourné de l'oeil lorsqu'on lui tendit son enfant. C'était le premier contact qu'il avait avec ce petit être chétif qui après avoir poussé de long cri pour marqué son premier pas dans ce monde, s'était finalement tu. Lilia a bout de souffle s'endormi son garçon dans les bras après avoir simplement dit : " Pierrick". Voila que sans y avoir réfléchit préalablement ni même en avoir parlé à son mari, elle venait de choisir le nom de leur enfant. C'était un cri du coeur, un choix qu'elle avait fait sans pensé au monde, au regards que les autres lanceront à son fils dans la cours de récré ni à toutes ces choses si peu importante qui allait avec. Pierrick. C'était un joli nom. Pierrick Steve McGrégor. C'était un très joli prénom

L'enfance est un passage obligatoire dans la vie de tout personne. C'est ce qui forge notre caractère et nous donne se bagage si important pour la vie adulte. Pierrick n'était pas un enfant particulièrement turbulent. Il aimait à se retrouvé chez ses grands-parents, écouté les récits légendaire que son grand père lui contait avec cette aisance et cette passion si particulière dans ses yeux. Londres était une ville turbulente, toujours du mouvement. Les gens ne prenaient jamais le temps de profiter de l'instant, il ne s'arrêtait pas pour regarder le soleil se couché, ni même pour regarder les touristes prendre des photos d'Oxford Street avant d'aller dévalisé les magasins. Ils admiraient, certes, les magasins Harrods et leur grandeur. Mais ne s'arrêtait pas dans les petites rues méconnu pour voir les anciens magasins et en connaître leur mystère. Pierrick, lui, oui. Il se baladait main dans la main avec Lilia en revenant des cours. Ne manquait jamais de demander à sa mère un livre sur les contes du pays ou même sur toutes ces choses surnaturelles qu'il aimait tant. Son enfance ne fit aucun remous. Il était pour ainsi dire parfait. Un petit peu trop possessif quant à ses parents qu'il n'aimait partagé avec personne et n'arrivait pas à juger correctement son travail. Malgré ses points excellent à l'école et toutes les activités extrascolaires qu'il faisait, ce n'était jamais assez. Lorsqu'il eu 9 ans, le petit McGrégor décida de se lancé dans la musique. Il apprit le solfège et s'adonna ensuite à la guitare et le piano. Dans son école, il faisait souvent partit du trio de tête qu'on mettait en avant pour les spectacles de fin d'année. Jouer ne signifie pas rien aux yeux de Pierrick. C'est un partage de lui même et de son passé. Sa mère adorait l'écouté chanté et joué de la guitare lorsqu'il était enfant. Il aimait joué pour elle et pour son père lorsque celui-ci revenait du travail exténué par les heures passé derrière son bureau à tapé des rapports pour la société où il travaillait.

En somme, le brun eu une enfance parfaite. Jusqu'à son adolescence tout aurait pu être parfait. Seulement, pour cela il aurait fallu que le malheur ne s'abatte pas sur sa famille. Que le monde ne se décide pas à lui retiré une des celles personnes qui comptait plus que tout au monde pour lui. Dire qu'il ce souvient de ce jour et qu'il s'en souviendra toutes sa vie est vrai. Jamais il ne pourra oublier les cris et le bruit qu'il entendit alors que la voiture de sa mère se faisait percuté par un chauffard qui roulait trop vite, bien trop vite. C'était une journée d'hiver tout à fait banal. Il avait bien neigé dans la capitale et les routes étaient glissante. Il ne devait pas être plus de 8 heures 10 lorsque Lilia le déposa à l'école. Arrêté devant un feu rouge à proximité de l'école, comme tous les parents, elle laissa l'enfant son petit bonhomme âgée de douze ans sortir de la voiture avant de lui tendre sa mallette par la vitre ouverte du côté conducteur. Pierrick se souvient parfaitement bien de l'odeur que dégageait son sac. Celle d'un cuir neuf qui ne sentait pas très bon à son avis. Il se souvient de ses doigts froid à cause de la température ambiante, ainsi que du sourire de sa mère qui lui souhaitait une bonne journée avant de dire qu'elle l'aimait. Comme à son habitude il lui avait dit qu'il l'aimait. Aujourd'hui encore ces mots ont une légère connotation d'ultime déclaration à ses yeux. On aurait pu croire que le traumatisme aurait fait tout oublier à ce petit garçon qui avait la vie devant lui. Seulement, le bruit pneu qui crissent, les cris de passent alarmé par cette voiture qui roule beaucoup trop vite et qui se dirige vers cette pauvre mère de famille et son petit garçon. Le jeune homme saurait encore expliquer avec exactitude qu'il eu le temps d'appelé sa mère tout en mettant sa main sur la portière du côté passager avant d'être tiré en arrière par le père d'un de ses amis d'école. Les mois qui suivirent, par contre,ont été englouti par un trou noir.

L'humilité est une chose que le temps nous apprend. Que les aléas de la vie nous enseigne et qui nous laisse souvent un arrière goût amer. Pour Pierrick l'humilité c'est de vivre au jour le jour et de profiter de chaque instants pour ceux qui sont mort. Pour honoré leur mémoire et pour qu'ils ne soient pas parti en vain. C'est avec cet état d'esprit qu'il aborda son adolescence. Toujours aussi parfait sous tout angle. On rêvait de l'avoir comme fils, comme frère, comme petit ami. Et lui il rêvait de retrouvé une flamme pour allumer son feu. Il rêvait à une vie plus palpitante, qui mériterait la peine qu'on peut ressentir en perdant quelqu'un. Il rêvait à des instants d'éternité qu'il pourrait partagé avec quelqu'un. Il grandissait, mais n'avait jamais été aussi rêveur et aussi attiré par les histoires surnaturelle que comme par son enfance. Son père a surmonté la mort de sa femme de la même manière que son fils. En ne prenant rien pour acquis. En faisant de son mieux pour lui facilité chaque passage de sa vie et en l'aidant à retrouvé qu'il était lorsqu'il se perdait. Dans cette relation si particulière, il arrivait que la limite père, fils, soient si floue qu'on n'aurait su dire qui était qui. Pierrick était quelqu'un de mature pour son jeune âge. Et les conseils que son père lui donnait ne l'intéressaient nullement. Il savait comme était le monde. Savait ce qu'il voulait faire et pourquoi. Lorsqu'il apprit de la bouche de son père qu'il était un lycanthrope ce ne fût nullement un choc. Sa vie il l'avait passé à attendre cette révélation. Celle qui la sortirait de ce quotidien fade et sans vie qui l'ennuyait au plus haut point. Et voila qu'il était pareille à ces êtres chimériques que ses livres avaient dépeint avec tant de précisions et d'erreurs.

Lorsque Pierrick fut envoyé à Oxford pour apprendre à ce maîtriser il eu l'impression de revenir en arrière. A l'époque où il était un adolescent et où il avait eu droit aux explications de son père quant aux relations sexuelles et tout ce qui allait avec. C'est donc avec beaucoup d'aisance et sans aucune rancoeur qu'il accepta le fait de devoir se caché aux communs des mortels afin que le monde garde cette équilibre fragile sur lequel il repose depuis des centaines d'années. Étudiant en médecine, il suit ses cours avec autant d'assiduité que ce qu'il l'a toujours fait et avec énormément d'intérêt. Il désire devenir chirurgien urgentiste et a abordé sa première année avec beaucoup d'aisance. Ici, la vie à suivi son cours. Comme il aurait pu partout ailleurs, le jeune homme est tombé amoureux. Mais à cause de sa jalousie maladive. Le simple fait de la voir accompagné d'un autre garçon ou de ne savoir ce qu'elle faisait le mettait en colère. Ils rompirent donc, Pierrick pensant que c'était mieux ainsi, ne se rendant nullement compte que c'était de sa faute. Depuis lors il est toujours amoureux, mais se persuade que c'est mieux ainsi. De toute manière, l'amour finit toujours un jour, non ?